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pace que une ou deux des autres écailles situées plus en dehors
devientnent anssi, quoique à un moindee degré, le siege d'un développement
du même genre. La vigueur des plantes doit influer puis
sarment sur l'énergie avec laquell s'opére leur multiplication
parce moyen, ou, en d'autres ternes, sur la quantité de caïeux que
produisent leurs écailles nourricières.

Peu après leur naissance, les caïeux commencent à croître rapidement,
et déjà au mois de mars on en voit quo ont plus d'un
centimétre de longueur, tout en étant fortement renflés. En groississant
ainsi ils manquent bientôt de place; ils se pressent les uns les autres,
et se poussent par conséquent. Comme ils sont nés sessiles il faut alors
ou qui'ils soient séparés de leur point d'attache, ou, ce qui arrive frequemment,
qu'en se soulevant ils arrachent une lanière du tissu
de l'écaille; anssi paraissent-ils alors pédiculés avant de devenir
finalement libres. Pendant ce temps, l'écaille qui leur a donné naissance
s'épaise à les nourrir, se vide, s'aminait, [crossed out: et] devient flasque et
ridée, après quoi Me s'altére et disparaît.

III. Végétation et développement des caïeux épiphylles du
Lilium Thomsonianum. — Dès leur très-jeune âge, [crossed out: illegible]
ces caïeux fixés à leur écaille-mère peuvent se comporter de deux
manières différentes: les uns, en petit nombre, s'allongent immédiatement
en une longue feuille verte et tubulée, ouverte à son extrémité;
les autres formant la grande majorité, restent courts, turbines,
su montes d'un bec pointu et plus ou moins arqué. Dans l'un
et l'autre cas, leur enveloppe extern est continue [added: ou tubulée] et n'offre qu'
une petite ouverture terminale; mais dans ceux qui restent courts,
cette enveloppe + [added: + qui n'est qu'une
feuille modifiée,] est plus épaisse que dans le autres renflée et fortement
côtelée à l'extérieur, sa cavité est plus ou moins allongée supérieurement
en tube étroit, élargie dans sa partie inférieure qui