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Chicago Botanic Garden at May 26, 2020 02:07 PM

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[left margin: 6)]

Leucoium vermum; chez d'autres c'est dans la totalité de feuilles
engraîn. ou écaill., comme Gagea et Lil. Martag., ou les 2 modificat.
sont réunies, Hyacint. et Lil. cand.

On peut anssi considér. l'arrangem. des feuil. sur l'axe
basilaire, savoir si elles sont spiralées ou rigoureust. alternes; le 1er.
cas se voit chez Hyacint. et Lilium, 6 derner chez Leucoium.
Dans le 1er. cas, si les feuil. sont étroites relatt. à l'axe basilaire,
il en résulte une bulbe écailleus (bulbus imbricatus) comme
chez Lilium mais où les plus jeunes bulbes sont sussi écaill.;
mais si elles sont larges et engaînantes, on homme la bulbe
tuniquée (b. tunicataus). Dans beauc. les feuil. nourricières sont
soudée; entre elles par places, comme chez Fritill. imper. et
Ornithog. umbell.; mais chez la plup. elles se recouvr. seulement
ou s'embrassent étroitt., sans se souder.

Quelq. bulbes sont convertes de [crossed out: peaux] [added: membranes] sèches, comme les
Gagea, Hyacint., &c.; d'autres n'en ont pas, par ex Fritillaria
Les premières correspondent aux tubercules vêtus du Colchique,
les dernières aux tuberc. nus des Arum. Du reste ces membran.
[left margin: P. 238]
différent beauc. d'orig. et de consistance, ce qu'on ne doit par
mettre en rapport avec l'oignon.

Beac. de considérat., qu'on poussait multiplier, comme par ex.
si la tige florale est terminale ou latérale, ne sont pas du tout propres
aux plant. bulb., mais leur sont communes avec d'autres pl.; seult.
elles sont généralt. plus rappantes chez elles parce q. les parties y sont rapprochées
et remarqt. développées. Si les bulbes exist. pricipalt. chez les
Monocot., la raison en est q. chez elles les formations foliaires prédominent
en général.

Il fait un histoire des opinions emiser successivt. sur les bulbes
et tubercules. Les anciens les prenaient pour des racines. Aristote,
Pline, Tragus, &c. — Tournefort, Linné les regarde comme hibernacles.
Pour lui le buble est l'hibernache qui repose sur le candex
descendant, tandis q. le bourgeon est l'hibernacle qui repose sur le candex
ascendant. Ainsi pour lui la notion de bulbe est coordonné, non
subordonnée à celle de bourg., et en qualifiant la 1e. d'hibernacle,
il montre qu'il a au moins une [crossed out: illegible] idée de sa vraie nature.

.... Au total, il y a chez L. beauc. d'incertitude quant à la nature
des bulbes et tuberc.; partout on voit chez lui une tendance à eu
bien apprécier la nature, mais il n'arrive pas encore à une idée
bien arrêtée.

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[left margin: 6)]

Leucoium vermum; chez d'autres c'est dans la totalité de feuilles
engraîn. ou écaill., comme Gagea et Lil. Martag., ou les 2 modificat.
sont réunies, Hyacint. et Lil. cand.

On peut anssi considér. l'arrangem. des feuil. sur l'axe
basilaire, savoir si elles sont spiralées ou rigoureust. alternes; le 1er.
cas se voit chez Hyacint. et Lilium, 6 derner chez Leucoium.
Dans le 1er. cas, si les feuil. sont étroites relatt. à l'axe basilaire,
il en résulte une bulbe écailleus (bulbus imbricatus) comme
chez Lilium mais où les plus jeunes bulbes sont sussi écaill.;
mais si elles sont larges et engaînantes, on homme la bulbe
tuniquée (b. tunicataus). Dans beauc. les feuil. nourricières sont
soudée; entre elles par places, comme chez Fritill. imper. et
Ornithog. umbell.; mais chez la plup. elles se recouvr. seulement
ou s'embrassent étroitt., sans se souder.

Quelq. bulbes sont convertes de [crossed out: peaux] [added: membranes] sèches, comme les
Gagea, Hyacint., &c.; d'autres n'en ont pas, par ex Fritillaria
Les premières correspondent aux tubercules vêtus du Colchique,
les dernières aux tuberc. nus des Arum. Du reste ces membran.
[left margin: P. 238]
différent beauc. d'orig. et de consistance, ce qu'on ne doit par
mettre en rapport avec l'oignon.

Beac. de considérat., qu'on poussait multiplier, comme par ex.
si la tige florale est terminale ou latérale, ne sont pas du tout propres
aux plant. bulb., mais leur sont communes avec d'autres pl.; seult.
elles sont généralt. plus rappantes chez elles parce q. les parties y sont rapprochées
et remarqt. développées. Si les bulbes exist. pricipalt. chez les
Monocot., la raison en est q. chez elles les formations foliaires prédominent
en général.

Il fait un histoire des opinions emiser successivt. sur les bulbes
et tubercules. Les anciens les prenaient pour des racines. Aristote,
Pline, Tragus, &c. — Tournefort, Linné les regarde comme hibernacles.
Pour lui le buble est l'hibernache qui repose sur le candex
descendant, tandis q. le bourgeon est l'hibernacle qui repose sur le candex
ascendant. Ainsi pour lui la notion de bulbe est coordonné, non
subordonnée à celle de bourg., et en qualifiant la 1e. d'hibernacle,
il montre qu'il a au moins une [crossed out: illegible] idée de sa vraie nature.

.... Au total, il y a chez L. beauc. d'incertitude quant à la nature
des bulbes et tuberc.; partout on voit chez lui une tendance à eu
bien apprécier la nature, mais il n'arrive pas encore à une idée
bien arrêtée.