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Envoyé par M. Elwes. examiné le 8 juil. 1876
1. Un pied jeune entier qué, bien q. l'oignon en soit extrêmement petit, comme le montre la fig. 1B, donne une 1e. feuile. Son pivot est ramifié. 1B. oignon de id. grossi, montrant sa feuille séminale f1 et sa 1e. feulle f2. À peine distingue-t-on un renflement de la gaîne de la feullie séminale. Cet état est probabt. anormal, comme le montre la comparaison avec la fig. 2
2. Jeune pied entier dans lequel la feuille séminale f1 a sa gaîne fortement renflée et ne laissant sortir que faiblement l'extrémite de la 1e. feuille normale f2, comme on le voit bien mieux sur la fig. 3 qui représente le petit oignon grossi. Ici le pivot r n'ayant donné qu'une seule ramification il est né de la base du jeune oignon une racine adventive déjà forte r'.
3. 4. oignon du même grossi (3) et coupé longitudt. (4). Cette coupe montre qu'une 2e. feuille f2 est déjà ébauchée.
5. Oignon d'un autre jeune pied dont le pivot r a émis, vers sa partie supér., une ramificat. presque égale a lui. a. Au premier coup d'oeil on crorait que ce pivot s'est bifurqué. L'étiquette de M. Elwes porte : semé en novem. 1875.
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[pencil sketches]
Lil. philadelphicum (Elwes — 8 juillet 76.
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Lilium pardalinum Kell.. 3 jeunes pieds d'âges différents, provenant tous d'un semis fait en octobre 1875,envoyés par M. Elwes examinés le 1 juillet 1875.
Fig. 1. Lindiv. le plus jeune, de grandeur naturelle. Il n'offre déjà plus vestige du pivot. Il a 3 racines adventives simples, dont 2, r', r' sont assez longues mais simples, tandis que la 3e. ,r'' est née depuis peu. Il a 2 feuilles à limbe oblong-lancéolé, longt. pétiolées, dont l'une f1 est la plus ancienne et à moitié morte, ce que montre, outre l'état de son limbe, le raccourcissement de son pétiole au-dessus de sa base même qui est sensiblt. renflée. L'autre f2 est très fraîche et paraît près de son entier dévelop..
Fig.2 . L'oignon du même grossi pour le mieux montrer et faire voir surtout l'écaille basillaire brunât. et morte et que je crois pouvoir être le reste de la gaîne cotylédonaise. Elle etait sans doute opposée à la gaîne écaille de f1; mais les 2 gaînes- écailles de f1 et f2, en grandissant et épaississant beaucoup l'ont deéhirée et rejetee de côté.
Fig. 3 Le même oignon coupé longitudt. On voit que la gaîne -écaille de f2 reaterine une seule écaille a qui restera certaint. nourricière ou dans limbe. Il y aura donc eu 2 feuilles normales, cette année.
Fig. 4 Coupe longitud. de l'oignon d'un 2e. pied qui etait plus avancé. La gaîne de f1 s'était allongée au point de dépasser beaucoup le sommet de celle de f1 ,tandis que son limbe est mort et sec, son pétiole raccornit [added: avec sa patie supér. rouge sur 0m 01 de long. Cette feuille F1 est plus longue de 0m015 que f2, à limbe égalet. ovaleoblong, lancéolé au sommet.] L'écaille a montre son extrém. hors de la gaîne-écaille de f2., et à son tour, elle renferme une écaille b 1/2 aussi longue qu'elle.
Fig. 5 Le 3e. pied, le plus avancé des trois, tout entier- 1/1= Il n'a qu'une feuille qui correspond à f2, dont la gaîne-écaille est très épaisse et très-large. L'écaille nourricière a forme un cône très saillant et presque dégagé de f2. Il y a 5 racines dont l'une r''', nee depuis peu est beaucoup plus grosse que les autres, blanche, tandis que les autres sont grêles et brunâtres.
Fig.6. L'oignon de id. grossi.
Fig.7. Coupe longitud. de id. mêmes lettres. f1 et tout ce qui reste de [crossed out: illegible] la gaîne-écaille de f1.
Sur Fig. 5 [crossed out: illegible] le limbe de la feuille unique est [crossed out: pa] tablt. plus large qu'il n'était sur le pied Fig. 4. N.B. Dans fig. 4, la partie pleine de a est pl. épaisse q. sur mon dessin.
