Page 248

OverviewVersionsHelp

Facsimile

Transcription

Status: Complete

[left margin: 3)]

Suite du Lilium Thomson. envoyé le 29 janv. 1872

Les écailles enlevées, la suite des nombres (1) (2) (3) &c. indique la
série spirale des feuil. de l'année. On en voit 8 qui forment 3
tours de spire; seulement c'est (8) qui vient se placer devant (1)
tandis q. ce devrait être 9 pour q. l'ordre phyllotaxiq. fût 3/8.

Fig. 6. La base du faisceau de feuilles, montrant qu'elles
forme à la base même un petit renflement

(1) (2) et (3) sont de plus en plus reployés en gouttière [illegible] le
bas. Le canal est presq. fermé à (5), surt. à (6); (7) a ser bords en
contact sur une certaine longueur au-dessus de sa base, tandis que (8)
après avoir embrassé de sa base élargie la 1/2 de la circonf. du bourg.
terminal, s'ouvre immédt. au-dessus en lame linéaire très-peu concave;
[crossed out: illegible] est longue, au total, de 0m098, large au plus de 0m0035.

Fig. 7. La feuille (8) dans sa partie infér., avec le bourgeon
[added: central] [crossed out: terminal], Sans transition de l'un à l'autre. Dans ce bourgeon
recommence l'ordre phyllotaxiq. contimant la spirale des feuilles
vertes. (8) recourse à peine de son bord gauche [crossed out: illegible] c qui vient juxtaposer
son bord droit au bord gauche de [crossed out: B]d; le bord droit de [crossed out: B]d
recourse à peine le bord gauche de e [crossed out: illegible]; mais le bord droit de [crossed out: illegible] e
est notablt. recouvert par le bord gauche de c [crossed out: illegible]. Toutes ces écail.
sont charmes, blanches, très-concaves. Elles sont se rappetissant
rapidement jusqu'à la 12e. et 13e. qui sont très-petites et cntourent
une petite dépression centrale terminant un très-léger exhaus.
[left margin: sketch]
Toutes ces écail., feuilles et bourgeon, sont portées par un axe
court sans entre [illegible] interméd. pl. long. D'où continuité
compléte. Fig. A coupe longitud. de cet axe commun, qui
est concave eu-dessous dans sa portion médiane morte (a)

Fig. 8. Coupe transv. menée vers la base d'une écaille
bulbillifère, pour montrer le pédicule de ces caïeux continu
eu arrière avec le tissu très-láche, spongieux, blanc, de l'écaille
propt. dite. — En réalité, le pédicule, facile à distinguer à son
opacité et sa couleur jaune, s'étrangle fortement sous le caïeu
infér. et le plus gros, absolument comme le moitre la fig. 4.

[left margin: sketch]

Le faisceau de la nervure est, comme ou le voit entouré
dans le pédicule de 2 zones cellul. concentriq. dont la plus voisine
des vaiss. est claire [added: blanche] et transpar. tandis q. l'externe est plus épaisse,
jaunâtre et pl. opaque. Celle-ci ne se prolonge pas au-dessus du
niveau des bulbilles et [added: le faisceau propre] s'enfonçant au milieu de l'épaiss. du tissu
très-lâche et blanc de l'écaille se prolonge en nervure proprt. dite
immergée et réduite à un fascic. vasculaire fort grête. Plus tard,
quand l'écaille se dessèchera, le pédicule s'isolera; d'où les caïeux
seront pédiculés sans adhérence.

Fig. 9. Une bulbille à. p. p. analogue à l'infér. de la fig. 5.
vue entière par son côté supérieur. Elle est nettement côtelée.

Notes and Questions

Nobody has written a note for this page yet

Please sign in to write a note for this page