The Scientific Notebooks of French Lily Specialist Pierre Étienne Simon Duchartre

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Pages That Mention Colchicum

[Collection of manuscript notes, drawings, and photographs on lilies]. 1870-1880.

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[left margin: 2)] foliaires devieun. charmes à p. p. eu même proportion

b.) Beauc. pl. fréquents sont les tuberc. caulinaires qui ne se produisent qu'après les autres parties appartenant avec eux à un même axe, de sorte qu'eux et les nouvelles formations, à la product. desquel. ils sont employés appartien. à deux axes (tout au moins à deux pousses differentes d'un [left margin: P. 227.] meme axe). Ici appartien les tuberc. caulin. de Sturmia et Malaxis , d' Arum maculat., de Colchicum, Crocus, Ranunculus bulbosus.

Pour de nouvelles divisions des tuberc. caulinaires on peut s'appuyer sur le nombre des articles axiles qui forment le tubercule, nombre auquel se relie d'ordin. celui des bourgeous. Chez Sturmia et Malaxis, par ex., du moins en pieds fleuris, la modific. n'atteint pas un article axile tout entier, c. à d. la partie de tige qui va de l'attache d'une feuille à la suivante; chez Colchicum c'est un seul article, au moins pour le bourg. principal, car pour les bourgeous supérieurs c'est seult. une portion d'un article caulin. qui se transforme; il y en a plusieurs chez plusieurs Maxillaires et Crocus, Gladiolus, Arum. On peut examiner aussi quels articles caulin. preunent part a cette format. : chez Malaxis c'est celui qui est au-dessus de la feuille supér. de l'axe basilaire; chez Colchicum celui qui est entre la 3e. et 4e.; chez Crocus ce sont principt. les moyens. On peut encore considérer la place ou situation q. prend le tuberc. relativt. aux bourg. qu'il doit nourrir (surt. au bourg. principal). Par ex. chez Colchicum le tuberc est [crossed out: infér.] latéral, de même q. chez Malaxis; il est infér. dans Crocus (cue moins quant au bourg. principal), parce q. chez les 1ers ce sont les articles au-dessus de l'attache de la feuille à l'aisselle de laquelle naissent les bourg., et dans le dernier ceux au-dessous de cette feuille qui [left margin: P. 228.] se forment en tubercules. À ceci [crossed out: illegible] se relie encore cette particularité q., chez Colchic., l'énergie de la plante dans la format des bourg. décroit de bas en haut (comme dans le dévelop. d'une inflor. centripète), tandis q. chez Crocus, elle croit de bas en haut (comme dans le dével. centrifuge des fleurs). — Chez l'Arum macul. le tuberc. est égalt. infér., bien q. ce rapport semble changé parce q. l'axe basilaire devient d'ordinaire

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[left margin: 3)] horiz., tandis qu'il est vertical chez Crocus. Enfin, chez beauc. de plan. à tubere., le bourg. principal est axillaire, même quand il n'arrive par à la floraison, comme chez Colchic. et Malaxis, ou, pour d'auttres espèces, seulemt. chez les individus fleurissant, tandir qu'il est terminal sur les piedi non fleurissants, comme Crocus et Arum.

Chez maintes plant, tubér., à la reprise de la vègètat., les racines naissent de la nouvelle format., par ex. Arum chez d'autres au contr., par ex. Crocus, de la base du tubérc. adulte, de l'annèe précéd. Dans ce dern. car, la partie diem am est avec la partie de cette annèe eu connexion bien pl. intirse que dans le 1er.

Relatt. aux feuil. situées sur les parties axiles tubèrisées [crossed out: au] au-dessous d'elles, on peut distingues si elles se dessèchent avec leurs parties basilaires et persistent (tuber [left margin: P. 229.] turnicatum), par ex. Gladiolus et Crocus, ou si elles se detruis. bientôt (t. nudum), comme Arum.

Des passages aux branches ordin. se voient, entre autres, chez Oxalis stricta, Lycop. europ. et Mentha arven., [crossed out: ou] où la nouvelle product., même pendant von union à la plante-mère, pousse quelq. radicelles en petit nombre, plusieurs Iris où la plante-mère reste encore fraîche pend. longt., ainsi q. chez Anemone nemor., Convallaria Polyg; et Convallaria multiflora|multiflorum]].

2. Plantes à tubercules radicaux - On n 'en connoît exact.t que 2 modific. : l'une chez le genre Orchis et les voisins, qui ont une radix bituberata (1), l'autre chez [left margin: P. 230.] les spiranthes. Absolt. comme dans les plantes à tuberc. caulinaires [left margin: P. 231.] de la 1e. division (a), le tuberc. des Orchis se forme avant les parties qui appartiennent avec lui à un même axe; son contenu est résorbé pour le dévelop. de ces parties et il meurt avec elles. Au contr. chez les Spiranthes, les tuberc persistent en connexion avec le court axe basilaire auquel tient la nouvelle product. (la rosette de feuilles); les autres parties du même axe et leur contenu servent [left margin: P. 232.] au dévelop. des portions des axes immédt. suivants. Ces tuberc. radicaux correspond. donc en cela aux tuberc. caulinaires de la 2e. division. — Les autres differences entre les tuberc. des Orchis et Spiranthes sont indiquées plus haut.

(1) Peut-être la format. des tuberc. du Ranuncul. Ficaria rentre-t-elle ici Irmisch donne à cet égard des détails en 2 pages de notes.

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[left margin: 7) P. 243.] Pareille incertitude dans Sprengel. Il compare la bulbe au bourg. Il disntingue bulbes vraies et fausses ou solices. Aillens il les range dans le modificat. de la racine et de la tige, &c. .....

[left margin: P. 244] Bischoff compte les tuberc. et bulbes parmi les organies de multiplicat., et il les rattache aux bourg. et lenticells......

[left margin: P. 245] Schleiden range les parties ou organes des Phanérog. en 5 sortes: organ. radicaux, org. axiles, organ. foliaires, org. gemmaires et nouvel individu. Les bourg sont divisés en gemmee plantiparee

[left margin: P. 246] (BrutKnospen) et g. ramiparee. Èl un autre endroit il dit q. les bourg. plantipares devienn. remarquabt. charnus, soit dans toutes leurs parties, comme la plup. des bulbes et bublilles, ou seult. dans leurs organes axiles, comme les vrais tuberc. ou seult. dans leurs organes foliaires, comme dans la bulbe appelée solide (p. ex. Allium ursinum) ou enfin seult. dans une portion déterminée de leur ae comme chez les Orchid indig. et le Dahlia; pareille chose ne se boit par dans les bourg. ramipares.........

"Pour decider la quest. de savoir si on a raison dádmet. une relation si directe des bulbes et tuberc. avec les bourg., il faut examiner de près la nature de ceux-ci. Le bourg. n'est pas un organe, [left margin: P. 247.] mais simplt. un état — le premier — d'un organe ou d'une groupe d'org., domme d'une ouxe princip. ou second. avec ses parties apprendiculaires..... Il discute longuement si en effect les bubles [left margin: P. 255.] sont des bourg. et il conclut: "Ces raisons une détermin. à ne point ranger les bulbes parmi les bourg....... Presque les mêmes motifs s'opposent encore à ce qu'on admette la nature de bourgeons pour les tubercules. Chez les Arum, Malaxis, Colchicum, Crocus, &c., le tuberc. est une partie axile de l'année précédente, et tout complétement formée; le ranger parmi les bourg. parce qu'il en porte et nourrit, souvent même plusieurs, ce ne serait point justifiable; car autrement ou devrait ranger aussi parmi les bourg. les autres tiges qui portent des bourgeons. Chez les orchis de tuberc. est déjà parfait lorsque le jeune axe commence à se développer

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