The Scientific Notebooks of French Lily Specialist Pierre Étienne Simon Duchartre

Thilo Irmisch Zur morphologie d. monok. Knollen-u. zwiebelge. wächse 1850

Lilium candidum [pencil sketches]

Lilium bulbiferum [pencil sketches]]

[pencil sketches] Lilium Martagon.

Fig. 18. Bulbe assez faible de L. cand.; ou n'en a enlevé q. les parties les pl. exter., qui etaient mortea. octob. - 19. Après avoir ôté toutes les feuil. de l'axe basilaire: a, partie courte aphylle de la tige florale; b b. feuil. infér. de cette tige; c, le bourgeon - 20. Le bourg. un peu pl. avancé qu'en 19.

Lilium bulbifer. Fig. 21. Bulbe en été. 23. Toutes les feuil. on été enlevées aux l'axe basil. jusqu'à la plus haute b. f., cicatrice d'une ancienne tige florale - Fig. 22, en automne a et b correspond. au bourg. c de 23. c et le nouveau bourg. principal; a et b comme dans fig. 19. Fig 24. Oignon venu dans l'aisselle d'une feuil. caulin., section. transversale.

Lil. Margaton. Fig. 25, au print. peu avant la flo. saison. c attache de la feuil. caulin. la pl. basse; d, première commencement de radicielles. 26, coupe de l'axe basilaire; f, vieille tige florale; c, jeune bourg. principal. 27, toutes les feuil. de l'axe basil. ont été enlevées; c, bourg. principal. 28, oignon avec une seule feuille basilaire; a, son pétiole; b, les bords de la gaîne; c, côté dorsal de la 1e. feuille du bourg.; ou a supprimé toutes les parties infèrieures à la feuille.

Notes sur Thilo Irmisch, Zur Morphologie der monokotylischen Knollen und Zwiebelgewächse. 1850

[left margin: P. 82.] Lilium candidum L., [Lilium martagon|L. Martagon]] et L. bulbiferum L.

La bulbe de la 1e. de ces esp., examinée en autom., offre la composition suic.: Tout à le'extér. se trouv. des écail. ovoïdes, un peu charn., ayant une cicatr. au sommet (pl. VI, fig. 18b). Leur nombre va de 6 à 16. Decant la supér. de ces écail. se trouve, dans les bulbes les pl. fortes, le reste mort de la tige florifère (a) de l'été dernier après ces écail. à cicatr., vers l'intér., se trouvent, sans qui'il y ait transit. entre les unes et les autres, plus écail.-feuil. (c) (de 6 à 20), pointues, qui nevont par encore épuisées. Celles-ci sont suivies, touj. sans transit., de plus. (6 jusqu'à 16) feuil. bien dèvelop. (d), disposées en spiz., comme les écail.-feuilles. Ces feuilles entour. à leur centre la tige encore non développée (fig. 19a), changée de nombr. feuil.; sur les pieds faibles, celle-ci n'e porte pas [added: encore] de fleurs; mais elle en a sur ceux qui sont plus forts. Dans l'aisselle formée avec la tige par la feuil. supér. ou la plus intér. de l'axe basilaire (Grundaxe), se trouve le commenct. d'un bourgeon sous la forme de petit. e'cail. charnues ou de mamelons (fig. 19 c), dout on reconnaît déjà la disposit. spiralée. / Les pl. grand. de celles-ci, comme les extér., sont tout contre la tige florif., sans cepend. envelop. les pl. petites (fig. 20).

[left margin: P. 83] Les feuil. propt. dites de l'axe basilaire, en perdant leur lame deviend sont, l'année suiv., les écail. à cicatr. décrites d'abord. Ainsi absolt. comme pour la Jacinthe, on trouve dans le Lis blanc, dans une année, extért. plus feuil.-écail., que suivent plusiers feuil. ordin. Mais dans la Jainthe les écail.-feuil., et surt. la portion basil. des feuil. normales, sont très-larges, tandis qui elles sont beauc. pl. étroi. dans le Lis. De là, dans la 1e., les écail. exter. entour. exactt. les inter. et form. ainsi un oignon assez forme; au contr., dans le Lis, les écail. exter. cour. seult. les inter. (imbricatim), et leur puttache étant limitée à une petite place de l'axe basilaire, elles se laissent aisemt. écarter les unes des autres. Les vieux oignon de Jacinthe réunis. touj. plus d'années q. ceux du Lis blanc où, comme chez la Couronne imper., il n'y en a q. 2, sans compter le jeune bourgeon. Je n'ose cepend. pas affirm. q. cela soit constant. L'oign. du Lis differe aussi notablemt. de celui de la Jacinthe dans le dévelopt. de ses parties, puis q. chez lui les feuil. nom. se montr. dès l'antom., attachées à la partie de l'axe qui sera terminée (abgeschlossen), l'année suiv., par la tige florifère; tandis q. chez la Jacin., ces feuil. ne se produis. qu'au print. en même tenps q. latige à fleurs.

Les radicel. ramifiées naivent de lap artie infér. et âgée de l'axe basil.

[left margin: P. 84]

Les oign. des Lil. Martagon et bulbif. se ressembl. beauc., en somme. Les écail. de la 1e. de ces esp. sont pl. ètroi. et pl. long. (fig. 25) q. celles de la dern. (f. 21) de là l'oign. est pl. élancé dans la 1e. / Les 2 differ. beauc. du L. cand. parce q. sur leur axe basil., qui est. assez haut, se trouv. uniqt. des écail.-feuil. et pas de feuil. normales. — sur une bulbe pouvant fleurir de L. Mart., jai compté 50 écail.-feuil.; les tout exter. étaient minces et sèches; mais elles n'étaient point transform. en peaux brunes comme les feuil.-gaînes de la Tulipe; elles étaient

Thilo Irmisch. Zur Morphologie der monokotylischen Knollen- und Zwiebelgewächse

In. 8o. de 286 pag. et 10 pl. Berlin; 1850

Extrait et analyse du Chap.: Ueber Zwiebel - und Knollengewächse im Allgemeinen (p. 209-269)

Apres des considérat. générales sur les divers modes de végétat surtout des plantes vivaces et sur les divers dépots de nourriture, il propose le classement suivant:

[left margin: P. 225.] 1. Plantes chez qui un dépot de matières nutrit. détermine une transformat. remarquable des parties axiles (canlinaires). On peut nommer la partie modifiée tubercule axile (ou caulin.) (tuber caulogenum).

2. Plantes où c'est la racine qui subit la modificat. ; ou peut appeler la partie transformée tuberc. radical (Wurzel Knolle - Tuber rhizogenum)

3. Plantes où ce sont les feuil. ou parties de feuilles (du moins principalt.) qui sont modifiées dans ce but. On nomme ces format. des bulbes. En rapport avec les noms de 1 et 2, ou peut nommer ces format. tuberc. foliaires (Blatt Knolle - Tuber phyllogenum).

Il n'est pas dit qu'il n'y ait des formes interm.; mais je n'eu ai pas trouvé chez les Monocotyl. que j'ai observes; car si, dans beauc. d'oignons, par ex. chez les Lis, même des parties axiles (l'axe basilaire) servent comme réserv. de nourriture, il n'est cepend. pas douteux que, même dans ces cas, ce ne soient surtout les feuil. qui servent comme tels.

I. Plantes a tubercules caulinaires.

[left margin: P.226] a) Parmi les Monocot. à tuberc. caulinaires que j'ai examinés je n'en ai trouvé aucun chez qui toutes les vieilles formations périssent, et où le tuberc. appartieune au même axe q. les nouvelles format. et se développe avant les autres parties de cet axe. Mais l'exist. d'un pareil tuberc. caulinaire chez les Monocot. n'e peut être cortes lée à priori. Parmi les Dicotyl. il y a les exemples comms de la Pomme de terre et du Stachys palustris.. On poussait y ranger aussi l'Adoxa moschat.; mais c'est l'une des plantes chez qui, outre l'axe, les formations