The Scientific Notebooks of French Lily Specialist Pierre Étienne Simon Duchartre

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[Collection of manuscript notes, drawings, and photographs on lilies]. 1870-1880.

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Leucoium vermum; chez d'autres c'est dans la totalité de feuilles engraîn. ou écaill., comme Gagea et Lil. Martag., ou les 2 modificat. sont réunies, Hyacint. et Lil. cand.

On peut anssi considér. l'arrangem. des feuil. sur l'axe basilaire, savoir si elles sont spiralées ou rigoureust. alternes; le 1er. cas se voit chez Hyacint. et Lilium, 6 derner chez Leucoium. Dans le 1er. cas, si les feuil. sont étroites relatt. à l'axe basilaire, il en résulte une bulbe écailleus (bulbus imbricatus) comme chez Lilium mais où les plus jeunes bulbes sont sussi écaill.; mais si elles sont larges et engaînantes, on homme la bulbe tuniquée (b. tunicataus). Dans beauc. les feuil. nourricières sont soudée; entre elles par places, comme chez Fritill. imper. et Ornithog. umbell.; mais chez la plup. elles se recouvr. seulement ou s'embrassent étroitt., sans se souder.

Quelq. bulbes sont convertes de [crossed out: peaux] [added: membranes] sèches, comme les Gagea, Hyacint., &c.; d'autres n'en ont pas, par ex Fritillaria Les premières correspondent aux tubercules vêtus du Colchique, les dernières aux tuberc. nus des Arum. Du reste ces membran. [left margin: P. 238] différent beauc. d'orig. et de consistance, ce qu'on ne doit par mettre en rapport avec l'oignon.

Beac. de considérat., qu'on poussait multiplier, comme par ex. si la tige florale est terminale ou latérale, ne sont pas du tout propres aux plant. bulb., mais leur sont communes avec d'autres pl.; seult. elles sont généralt. plus rappantes chez elles parce q. les parties y sont rapprochées et remarqt. développées. Si les bulbes exist. pricipalt. chez les Monocot., la raison en est q. chez elles les formations foliaires prédominent en général.

Il fait un histoire des opinions emiser successivt. sur les bulbes et tubercules. Les anciens les prenaient pour des racines. Aristote, Pline, Tragus, &c. — Tournefort, Linné les regarde comme hibernacles. Pour lui le buble est l'hibernache qui repose sur le candex descendant, tandis q. le bourgeon est l'hibernacle qui repose sur le candex ascendant. Ainsi pour lui la notion de bulbe est coordonné, non subordonnée à celle de bourg., et en qualifiant la 1e. d'hibernacle, il montre qu'il a au moins une [crossed out: illegible] idée de sa vraie nature.

.... Au total, il y a chez L. beauc. d'incertitude quant à la nature des bulbes et tuberc.; partout on voit chez lui une tendance à eu bien apprécier la nature, mais il n'arrive pas encore à une idée bien arrêtée.

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